Lucile Jomat, présidente de SOS homophobie
Trois associations (Planning Familial, SOS Homophobie et Sidaction) ont assigné l’État en justice pour demander l’application de la loi de 2001 qui prévoit que l’ensemble des élèves suivent trois séances annuelles d’éducation à la vie affective et sexuelle. Des chiffres loin d’être atteints, y compris dans le Nord où le Planning croule sous les demandes.