Faut-il passer par une plainte en justice pour contraindre l’Etat à faire « ses devoirs » en matière d’éducation sexuelle à l’école ? Trois associations l’espèrent et saisissent le tribunal administratif de Paris.
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Revue de presse
Invitées: éducation à la sexualité à l’école
La loi de 2001 sur l’Education sexuelle à l’Ecole prévoit 3 séances par an du CP à la terminale. Cette loi est pourtant largement peu appliquée dans les établissements français. Pour dénoncer ce manquement, trois associations portent plainte contre l’Etat : SOS Homophobie, le Planning familial et le Sidaction. Leurs présidentes, Lucile Jomat, Sarah Durocher et Florence Thune sont sur le plateau de Quotidien pour nous expliquer leur démarche
Éducation des élèves à la sexualité : «Nous ne pouvons pas répondre à toutes les demandes»
Lucile Jomat, présidente de SOS homophobie
Trois associations (Planning Familial, SOS Homophobie et Sidaction) ont assigné l’État en justice pour demander l’application de la loi de 2001 qui prévoit que l’ensemble des élèves suivent trois séances annuelles d’éducation à la vie affective et sexuelle. Des chiffres loin d’être atteints, y compris dans le Nord où le Planning croule sous les demandes.
Éducation à la sexualité : Le Planning familial, SOS Homophobie et Sidaction attaquent l’État en justice
Les trois associations doivent saisir le tribunal administratif de Paris ce jeudi afin de demander « l’application pleine et entière de la loi de 2001 », soit au moins trois séances annuelles d’éducation à la sexualité et à la vie affective dans les écoles, collèges et lycées.
Education à la sexualité à l’école : trois associations attaquent l’Etat en justice
SOS Homophobie, Sidaction et le Planning familial veulent contraindre l’Etat à organiser chaque année au moins trois séances d’éducation à la sexualité à l’école. Ce qui est prévu par la loi, mais rarement mis en œuvre.
Education à la sexualité : trois associations attaquent l’Etat pour « défaut de mise en œuvre de la loi »
Le Planning familial, SOS homophobie et Sidaction saisissent le tribunal administratif de Paris jeudi 2 mars pour faire respecter la loi de 2001 qui prévoit trois séances annuelles d’éducation à la sexualité pour les élèves, de l’école au lycée.
Éducation à la sexualité à l’école : l’État attaqué en justice, accusé de « manquer » à ses obligations
Le Planning familial, SOS Homophobie et Sidaction vont attaquer l’État en justice ce jeudi. Les trois cours annuels d’éducation à la sexualité sont trop peu dispensés, alors qu’ils permettraient de réduire les discriminations, ainsi que les violences sexistes et sexuelles.
Éducation sexuelle à l’école : pourquoi l’État est attaqué en justice par trois associations
La loi oblige les établissements scolaires à organiser au moins trois séances d’éducation sexuelle par an. Mais on semble loin de cet objectif dans les faits.
L’éducation sexuelle à l’école pas suffisamment enseignée, trois associations portent plainte contre l’État
SOS Homophobie, Sidaction et le Planning familial ont annoncé attaquer l’État pour le contraindre à organiser au moins trois séances par an, comme le prévoit la loi.
Éducation sexuelle : des associations attaquent l’État pour défaut d’enseignement
SOS homophobie, le Planning familial et Sidaction ont décidé d’attaquer l’État devant la justice administrative. Ces associations dénoncent le manque de cours d’éducation sexuelle, pourtant prévus par la loi, dans les programmes scolaires.
Éducation à la sexualité à l’école : trois associations attaquent l’État en justice
Trois séances d’éducation sexuelle par an : c’est la loi, mais l’Éducation nationale ne le fait pas, estiment plusieurs associations. SOS Homophobie, Sidaction et le Planning familial annonce attaquer l’État devant la justice administrative pour le contraindre à organiser chaque année ces cours.
Éducation sexuelle : l’État assigné en justice pour non application de la loi
Trois associations veulent le forcer à appliquer la loi de 2001 qui prévoit trois séances annuelles d’éducation à la sexualité pour chaque élève, de la primaire au lycée.
Éducation à la sexualité à l’école : pourquoi ça coince toujours ?
Trois associations entendent faire appliquer la loi de 2001 qui prévoit trois séances annuelles d’éducation à la sexualité pour les élèves. Dans les faits, nombre d’enseignants craignent encore de s’aventurer sur ce terrain miné.
Education à la sexualité à l’école : trois associations attaquent l’Etat en justice
Les associations SOS Homophobie, Sidaction et le Planning familial ont annoncé mercredi attaquer l’État devant la justice administrative pour le contraindre à organiser chaque année au moins trois séances d’éducation à la sexualité à l’école, comme le prévoit la loi. Selon un récent sondage Ifop, 17% des personnes interrogées disent n’avoir jamais eu le moindre cours sur la question.
“Moins de 15 % des lycéens et 20 % des collégiens ont accès à un programme d’éducation à la sexualité”
Sarah Durocher, présidente du Planning Familial, représente 3 associations qui attaquent l’Etat en justice pour le rendre obligatoire.
Éducation à la sexualité à l’école : trois associations attaquent l’État en justice
Elles veulent “mettre l’État devant ses responsabilités“. Les associations SOS Homophobie, Sidaction et le Planning familial ont annoncé mercredi attaquer l’État devant la justice administrative pour le contraindre à organiser chaque année au moins trois séances d’éducation à la sexualité à l’école, comme le prévoit la loi de 2001.
Education à la sexualité : l’Etat attaqué en justice par trois associations
D’après le code de l’Éducation, les élèves des écoles, collèges et lycées doivent bénéficier d’au moins trois séances annuelles d’éducation à la sexualité, y compris une sensibilisation aux violences sexistes et sexuelles.
Des associations attaquent l’Etat en justice pour manque de cours d’éducation sexuelle à l’école
SOS Homophobie, Sidaction et le planning familial veulent contraindre l’Etat à organiser au moins trois séances d’éducation sexuelle à l’école par an, comme le prévoit la loi.
Education à la sexualité à l’école : trois associations attaquent l’Etat en justice pour obtenir davantage de séances
SOS Homophobie, Sidaction et le Planning familial entendent saisir le tribunal administratif de Paris pour faire respecter la loi, qui impose au moins trois cours pour les élèves du primaire et du secondaire.
Éducation à la sexualité à l’école : trois associations attaquent l’État en justice
Les associations SOS Homophobie, Sidaction et le Planning familial ont annoncé ce mercredi 1er mars attaquer l’État devant la justice administrative pour le contraindre à organiser chaque année au moins trois séances d’éducation à la sexualité à l’école, comme le prévoit la loi.
Les questions LGBT+ doivent être abordées à l’école
Lucile Jomat, SOS homophobie
“Les questions LGBT+ doivent être abordées à l’école, prises en charge par l’Éducation nationale” Mais : “Les enseignants ne sont pas formés et incapables de faire un cours sur la question.”
L’éducation à la sexualité, c’est un outil d’émancipation individuel et collectif
Sarah Durocher, présidente nationale du Planning familial
“L’éducation à la sexualité, c’est un outil d’émancipation individuel et collectif…La loi est très bien faite, on ne veut pas la changer. Malheureusement, elle n’est pas effective”, explique-t-elle, dénonçant le manque de volonté politique affirmée et de moyens financiers.
La gratuite des preservatifs pour les 18-25 ans
Florence Thune, La directrice générale de Sidaction : La gratuité des préservatifs pour les 18-25 ans sera-t-elle efficace dans la lutte contre les IST ? Elle estime que cette mesure doit concerner les jeunes avant 18 ans et s’accompagner de réelles actions de prévention au sein des lycées et des collèges. Il faut que la loi qui impose les trois séances d’éducation sexuelle au lycée soit mise en application.
Le Planning appelle les candidat·e·s à réagir et à faire appliquer la loi
À quelques jours de l’élection présidentielle, le Planning appelle les candidat·e·s à réagir et à faire appliquer la loi ! Depuis 2001, celle-ci prévoit 3 séances annuelles d’éducation à la sexualité tout au long de la scolarité. Or, dans la pratique, il n’en est rien et c’est toute la population qui en subit les conséquences.